Après l'issue tragique de la prise d'otages de Vincennes, les policiers décident de ne pas interpeller Amar R., mais de l'épier. Ils veulent être certains qu'il ne s'apprête pas, à son tour, à passer à l'action Et ils espèrent être conduits vers de nouvelles pistes. Ils le suivent à Grigny, puis à Gonesse et à Rosny-sous-Bois. Là, le suspect a rendez-vous avec une jeune femme. A bord du véhicule de cette dernière, le couple batifole gentiment. Puis la voiture fait mouvement. Direction plutôt inattendue : le centre technique de la gendarmerie nationale de Rosny-sous-Bois, une des fiertés des pandores. Derrière de hauts murs, cet ancien fort abrite, entre autres, le Service central des réseaux et technologies avancées, le Service technique de recherches judiciaires et de documentation, le Système des opérations et du renseignement. Une vraie gare de triage numérique... Les deux amants s'engouffrent dans le parking, sans que le planton y trouve à redire. Et pour cause : la voiture appartient à la gendarmerie nationale et la jeune femme est sous-officier, chargée du renseignement opérationnel ! Le lendemain, Amar R. revient sur les lieux. Mais seul, cette fois, et au volant de sa propre voiture. Comme la veille, il pénètre sans difficulté dans le fort de Rosny. Comme s'il était chez lui. Branle-bas de combat !
http://revolisationactu.blogspot.com.br/2015/02/amar-r-un-des-complices-de-coulibaly.html
Au Enchainé de ce mercredi: La belle histoire d'amour entre un complice de Coulibaly et une gradée de la gendarmerie. La justice enquête...
Les enquêteurs ont identifié un proche du terroriste Amedy Coulibaly responsable de l'attaque du supermarché kasher. Il filait le parfait amour avec une femme sous-officier de la gendarmerie travaillant au fort de Rosny-sous-Bois. L'enquête a conduit les enquêteurs jusqu'à une adjutante de la gendarmerie nationale, Emmanuelle, qui était la petite amie d'un proche d'Amedy Coulibaly. L'information a été dévoilée ce mercredi matin par Le Canard Enchainé.
Avant les attaques, le proche du tueur faisait déjà l'objet d'un mandat d'arrêt européen, et était soupçonné de trafic de stupéfiants et d'armes. Ce qui ne l'a pas empêché de pénétrer mi-janvier en toute impunité et sans aucun contrôle, grâce à sa relation amoureuse, dans le fort de Rosny-sous-Bois, un temple du renseignement qui abrite le Service central des réseaux et technologies avancées, le Service technique de recherches judiciaires et de documentation ou encore le Système des opérations et du renseignement. Les enquêteurs ont découvert cette relation en filant les complices de Coulibaly peu après l'attaque du supermarché kasher de la Porte de Vincennes. La consigne avait alors été de ne pas arrêter tous les proches et complices du terroriste mais de les filer pour essayer de repérer d'éventuelles complicités ou des connexions avec l'entourage des frères Kouachi, voire même de déjouer de nouvelles attaques. L'étude des factures téléphoniques détaillées de Coulibaly a alors permis aux enquêteurs d'identifier une soixantaine d'individus suspects.
Parmi eux, Amar R., bien connu des services de police et dont le téléphone portable avait été localisé par un relais non loin de l'Hyper Cacher de la porte de Vincennes juste avant l'attentat. Il avait même été aperçu en compagnie de Coulibaly juste avant l'attaque. Les enquêteurs établissent que les deux complices ont tenté de monnayer fin décembre un véhicule contre des armes. Amar R. est suivi en toute discrétion à Grigny, à Gonesse puis à Rosny-sous-Bois. C'est là que les enquêteurs se rendent compte que l'individu file le parfait amour avec une adjudante du centre de gendaremerie de Rosny-sous-Bois. Il lui arrivait même de pénétrer dans l'enceinte du fort sans le moindre contrôle. La jeune femme, quant à elle, convertie depuis deux ans à l'islam, a été aperçue sortant du fort et troquant son képi réglementaire contre un voile. Mais après enquête, aucun signe de radicalisation religieuse ou de quelconque complicité dans les récentes attaques chez la jeune femme n'a pu être établi. Le proche de Coulibaly a, lui, été arrêté le 23 janvier dernier par la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) de la préfecture de police de Paris. La jeune femme, quant à elle, continue à occuper ses fonctions et aucune sanction administrative n'a été prise à son encontre.
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L'incroyable liaison amoureuse d'une gendarmette et d'un complice de Coulibaly
Les enquêteurs ont identifié un proche du terroriste, présent Porte de Vincennes juste avant l'attaque du supermarché kasher. Il filait le parfait amour avec une femme sous-officier de la gendarmerie travaillant au fort de Rosny-sous-Bois.
Manque de discernement ou manipulation? L'enquête sur les réseaux islamistes en France à la suite des attaques terroristes des 7 et 9 janvier derniers a conduit les enquêteurs jusqu'à une adjutante de la gendarmerie nationale, Emmanuelle, qui était la petite amie d'un proche d'Amedy Coulibaly. L'information a été dévoilée mercredi matin par Le Canard Enchainé. Avant les attaques, le proche du tueur faisait déjà l'objet d'un mandat d'arrêt européen, et était soupçonné de trafic de stupéfiants et d'armes. Ce qui ne l'a pas empêché de pénétrer mi-janvier en toute impunité et sans aucun contrôle, grâce à sa relation amoureuse, dans le fort de Rosny-sous-Bois, un temple du renseignement qui abrite le Service central des réseaux et technologies avancées, le Service technique de recherches judiciaires et de documentation ou encore le Système des opérations et du renseignement.
Les enquêteurs ont découvert cette relation en filant les complices de Coulibaly peu après l'attaque du supermarché kasher de la Porte de Vincennes. La consigne avait alors été de ne pas arrêter tous les proches et complices du terroriste mais de les filer pour essayer de repérer d'éventuelles complicités ou des connexions avec l'entourage des frères Kouachi, voire même de déjouer de nouvelles attaques. L'étude des fadettes (factures téléphoniques détaillées) de Coulibaly a alors permis aux enquêteurs d'identifier une soixantaine d'individus suspects. Parmi eux, Amar R., bien connu des services de police et dont le téléphone portable avait été localisé par un relais non loin de l'Hyper Cacher de la porte de Vincennes juste avant l'attentat. Il avait même été aperçu en compagnie de Coulibaly juste avant l'attaque. Les enquêteurs établissent que les deux complices ont tenté de monnayer fin décembre un véhicule contre des armes.
Aucun signe de radicalisation religieuse
Amar R. est suivi en toute discrétion à Grigny, à Gonesse puis à Rosny-sous-Bois. C'est là que les enquêteurs se rendent compte que l'individu file le parfait amour avec une adjudante du centre de gendaremerie de Rosny-sous-Bois. Il lui arrivait même de pénétrer dans l'enceinte du fort sans le moindre contrôle. La jeune femme, quant à elle, convertie depuis deux ans à l'islam, a été aperçue sortant du fort et troquant son képi réglementaire contre un voile. Mais après enquête, aucun signe de radicalisation religieuse ou de quelconque complicité dans les récentes attaques chez la jeune femme n'a pu être établi. Le proche de Coulibaly a, lui, été arrêté le 23 janvier dernier par la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) de la préfecture de police de Paris. La jeune femme, quant à elle, continue à occuper ses fonctions et aucune sanction administrative n'a été prise à son encontre.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/02/04/01016-20150204ARTFIG00132-l-incroyable-liaison-amoureuse-d-une-gendarmette-et-d-un-complice-de-coulibaly.php
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